Bordy and Labyrinthine

There once was a book, and it was mine. I ask myself this question : How did they make it ? It started out being just one of many, but it somehow had some quality, some unique glamour, that others did not. Something which made me take that book and not its brother. Altougth the cover was black, industrialy made with regular white pages ,signatures of 16 , again and again till the book bloc was complete. No words were written on the parchement, no colour, no direction given, but I did not see it as empty ,without meaning, for me it was spécial, we soon became friends.

 

This is not the story of how it came to be, but more what it became. It possesses a presence like none other today. It is powerful ,enormous and strong filled up with knowledge, reflexions and expression . But not in a dangerous way, more a magical one. Altougth no dragons comes flying from the pages within ,it does shine with the colours of rainbows from the sheets inside. Mysterious somehow ,it does not have a jacket to keep it from harm's way. But then again ,the marks of age and labour gave him his charm.A charming fellow that dear old friend of mine. It is not the biggest of its kind, only a A4 paper size.

 

Now let's open the cover and what do we see ? this book is no notebook ; enclyclopedia or novel. It is an artbook filled of with researh ,this was not about one book, one story or one drawing , it is so much more, a mix of them all.The artbook itself can be seen as a masterpiece. This artbook more importantly became so much to me: Fine as a woman, and hard as a man. It became the famous cartoon book too big to be closed. Now dear Bordy has a piece of fabric to help him along, like a gentelman too good to himself ,the spine doesn't support him anymore, he is too big, too strong ,too kind. Too filled up with manuscripts, drawings and research ,which worries me, what if he can't continue like this ,he will brake his bones and explode. And dear old bordy will be just a memory ...

Bordy what a wonderful name. A better one for him could not have been heard. Ape it and you will uderstand. Turn one page and it's the land of chairs. But rigth after it becomes a party for women in despair. No research has its time, it's a collection of thoughts, of drawings and lines. It's such a mess, but a pretty one, where no one can find themselves except for myself.

 

Then let's imagine its end : What would happen if he fell from a 15meters high building ? The explosion against the stoney hard floor would destroy the contruction and transform all those pages just flying around into a humain silhouette, made out of paper, it would take the form of a humain, but approaching it he is not of a man, or a child. No there standing before me is my own selves of paper, cause she is my thoughts, my knowlege. So basically we can say that Bordy is just another version of me.

By placing this Encyclopedia on my knee, i feel the weight of knowledge within. My fingertips are gracefully turning the pages and feeling its skin.


What attracted me to this ? Not the words ,the meaning or the ink. No it was more the Idea of the lines ,the expression ,the written harmony perhaps. Paying with words to destroy corruption, the dystopian eruption of meaning within . Encyclopedia, what a wonderful word ,an ancient idea with such beautiful work. But my Dalliance whit this gentle book, was more a vision of it's future than a celebration of the past. 


Oh ! I do not ignore the age of the love, the dear smell of wood and the feelings above. Not a day wound't pass where my Chatoyant eye wound't admire the piece of abeyant wood  ,the length of the omnibus, this  big heavy book. Let's start from the cover surrounded by leaves, the deep mighty woody forest green hue, Hard as a rock, but soft in some way, see the texture which makes the golden ABC's scream the meaning of this work covering knowledge. But then, i may just ignore that.


If you ape the dear you  may find knowledge itself, but i say clap it. Make us hear  the futur of the past, the past is done, the futur will come. And the old mighty book which ended in the land of the penniless ,where all are forgotten ,for new books were made, and dear Enclyclo became Wiki and free. And poor omby, too old for his time was placed side by side with omby 2,3,4,5. With no one but me to take it from there. But will i leave it like this as a evanescent  affair ? My purpose is all but that, for i am a creator and dear old omby will transform into a colorful celebration of creation and Naf-Feeling dear friend, a whole new land, and that was my plan.

 


 

Questionnement Linguistique

 

Langue parlé ? Langue écrire ? Ou aucun des deux ? L'idée d'une langue est d'abord un outil de communication, pourtant nous ne parlons pas tous la même langue , d'après des spécialistes il y aurais actuellement environs  6000 langues parlé dans le monde, incluant les divers dialectes ? Je ne crois pas. Mais pourquoi y a t'il tellement de langues différents ? On pourrait rappeler le mythe du tour de Babel qui "divisa" l'homme pourtant je ne voit pas cette océan linguistique comme un défaut de l'homme mais au contraire une richesse bien plus grande !

Pour revenir a ma personne, c'est l'histoire d'une danoise qui a l'âge de huit ans se retrouve en France et plus précisément dans l'école française, assise a côté d'une anglaise. Tic Tac Toc prise au milieu d'un triangle de langue : le monde multilinguistique s'ouvrait déjà a moi. Bien que maladroitement entre désespoir et amour, surtout pour cette écriture française Le Lui La, une guerre ? Ou une célébration ? Peut-être les deux en même temps. Pourtant une chose m'a paru clair et cela depuis bien des années une seule langue ,aussi complexe soit-telle ne pourras jamais tout dire, tout communiqué, ou faire passer. 

 

Je vais présenté mon travail en deux grandes parties, la première parleras des Naffurients questionnant l'idée de mythologie personnelle et les divers aspects de ce travail , la seconde qui porte le nom temporaire de ''Playing med los mots" ce rapproche plutôt du question : Peut-t'on écrire -ou parlée- en plusieurs langues ? Quels questionnement une telle pratique pourrait soulevé ? Quel belle mélange de cultures !

 

Le Naffurient n'est pas exclusivement l'invention d'une langue, il est aussi la tentative de donner vie à des dessins, donner histoire à des silhouettes gribouiller sur un carnet : comme Zuria, Somia et Atoki ils on tous des nom propres, des histoires propres. Une mythologie Personnelle qui viens directement de ma personne. Ce n'es pas pour rien que le personnage principale de l'histoire ce nomme Cobra Mike qui est l’anagramme de mon nom (Marie Bock) ,une telle pratique pourrais faire pensé au Hétéronyme Rrose Sélavy de Marcel Duchamp bien l'idée derrière n'es pas la même. Avec Cobra Mike je ne cherche a me réinventer, mais plutôt mettre en valeur les Naffurients en construisant une histoire croyable partiellement.

L'origine des Naffurients viens de deux fait, d'abord une admiration du travail de Fontcuberta avec son œuvre Fauna qui m'a inspirer a tenté de construire ma propre mythologie autour de ce peuple et rendre mes images fictives si réel qu'on pourrais croire en l'existence d'une telle peuple étranger, bien que je ne chercha pas a critique la vérité photographique ou la propagande comme Fontcuberta, ça reste son œuvre qui était le point de départ de ma réflexion. J'ajoute que le travail de Charles Simonds et ses « little people » étaient pour moi une référence important et inspirante. Ensuite la langue des Naffurients n'es pas crée sans réflexion. J'aimerais parler d'une sorte de motivation linguistique, bien que légèrement différente. La Motivation Linguistique au sens philosophique viens de Platon et porte plus précisément le nom du Cartylisme, extrait du texte « Cratyle » dans laquelle le personnage éponyme élabore une théorie naturaliste du langage selon laquelle les noms ont un lien direct avec leur signification (comme les Onomatopées). Dans la poésie elle produit un rapport constant et absolu entre un son et une signification : Pour m’explique je vais cité quelques exemples :

  • Rimbaud – Voyelle – Il donne des couleur au voyelles, comme de la Synesthésie.

« A noir, E blanc, I rouge, U vert, O bleu : voyelles »

  • Paul Éluard, le dur désir de durer – le d produit un effet de dureté.
  •  Verlaine – Lassitude – Produit l'effet inverse, le d deviens doux

« De la douceur, de la douceur, de la douceur ! »

  • Racine - Andromaque – la consonne s reproduit le sifflement des reptiles (Allitération)

« Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur vos têtes ? »

 

Finalement il existe aussi aussi la motivation linguistique par réfection analogique qui consisté a modifier la prononciation ou la graphie de certains mots qui, par processus d'usure phonétique sont devenus proche de la forme d'autres mots alors qu'a l'origine ils avaient une forme assez -voir très- différente.

Finalement pour revenir au Naffurients le sens dans laquelle j'affirmerais utiliser une certaine ''motivation linguistique'' serais une manifestation personnelle de la langue ou j'affirmais vouloir rapproché les mots plus a une sonorité sentimentale plus que juste par rapport aux faits réelles. Avec le Naffurients, ce fut une tentative de partir de ma base et en crée une langue, pour son invention il y avait une réglé d'or : les sentiments ont une sonorité et les mots sont directement lié aux sentiments auquel ils se rapprochent le plus ou plutôt, au sentiment qu'éprouvé le Naffurient présent lors de son invention. Seules quelques catégories ce séparent de cette logique comme les couleurs ou les animaux. Ainsi que certains catégories non-sentimentales, mais qui ayons pourtant une sonorité particulier pour définir leur milieu. Pour rentre les choses plus simple je vais tracer un tableau :

 

A: Amour, Amala

B: Bien, Balala

C:Nature

D:Faim, Damnia

E: mots de laissons

F:Neutre, Fulle

G: peur ,Grono

I: matière première-

J: Joie, Jafu

K: Adjectif

L: Mesures

M:Apparence

N:Mots important

O: Haine, Orito

P:Ennuis, Pluff

R:Maladie, Razan

S:Triste, Snifu

T: nombres, famille

V: outils fabriquer

W:Habits

Z : Pronoms

Y: Mots de société

H / Q / U / X : Rien

 

 

 

Cependant la langue des Naffurients en ce créent c'est parfois soustrait de l'idée de motivation linguistique. Une idée auquel je reviendras dans la seconde partie. Pour revenir aux projets dans le domaine nafffurient qui est toujours en évolution, je travaille encore sur la culture des Solbotesbes avec les sculptures en livre dont les artistes inspirateurs étaient Guy Laramée avec ses paysages encyclopédique ou encore Li Hongbo avec ses sculptures dépliable en papier. Cependant on pourrait aussi mentionner le travail de Skoob John Latham ,Alicia Martin, Karine Diot, jacqueline rush lee et surgeon Brian Dettmer. Qui on tous toucher la matière des livres à leur manières (Découpage, brûlures, pop-up..). Dans un second temps il y a l'idée d'une carte de l'île des Naffurients ,fabriqué à partir d'atlas du monde , projet toujours en phase d'idée, la carte serais un œuvre transportable et dépliable ,qui sortiras d'une sorte de valise , dont l'inspiration majeure était La Boîte-en-valise de Marcel Duchamp évidement. Cependant pour moi l'idée de valise n'es pas seulement ''pratique'' et facile a transporté. Mais reviens aussi au personnage de Cobra Mike qui étant un archéologue est un voyageur.

 

 

Pour présenté la seconde parti de ma réflexion actuelle, je vais commencer directement par un de mes poème :

 

 

Plac s'arrêter sur une image Dont on n'est pas sûr de son origine History il y a une raison pour laquelle on a donné un nom au choses at se Darty and Visa card philosophie PLAC R-Nuda-BINbal Plac On est tous assis dans une tente et on attend Plac Plac Come back Plac to me Plac Tu me manque mi Acqua-philosophie Plac C'est une réunion sombre begrave tem Shif snifu Fou Rire et Wandonu Plac C'est pas dans tous les pays que la couleur du deuil est noir Parfois c'est blanc blanc couvert de sang Plac Ritual Speaking Thinking Telling someone something new du vil se Que ce message que je souhaite passer or not est rempli de sens et vérité Sandheden Plac What are you talking about Normalement tu dis des choses justes pourtant Plac Plac
Nouveau chapitre nouvelle histoire Plac Today we are gonna talk about me Eller dem der er her Plac Entre penser et comprendre translate me! ou laisse moi comme je suis.

 

Pour l'instant je nomme cette pratique Playing med los mots ou Jouer con the ord et l'idée derrière étant d'abord : écrire en plusieurs langues, mais aussi de trouver le bon ''mot'' dans la bonne langue pour exprimer la bonne idée. Comme j'ai dit plus haut : Il n'existe pas de langue qui pourra tout communiqué justement, si écrire en plusieurs langue est une solution ? Je ne sais pas encore mais pour l'instant je joue avec les mots. J'ai commencer cette pratique lors du workshop « Vive les disjonctions » avec Françoise Goria et Pascal Poyet ,qui pour expliquer en quelques mots en quoi consisté le workshop s'était l'idée de faire une performance en groupe où l'image et le texte seraient créent à part et mit en commun pour avoir une place aussi importante l'une que l'autre et créent des Disjonctions d'après une citation de Jacques Derrida. Évidement je ne suis pas la première à écrire ou parler en plusieurs langues. Je peut d'abord cité une série humoristique danois qui s'appelle « The Julekalender » qui mélange deux dialectes danois (Rigsdansk - le danois le plus commun- et Sønderjysk -Dialecte du nord- ) avec l'anglais comme on le remarque dés le titre de la série. Ensuite il y l'oeuvre de Sarah Riggs « Each dix minutes » qui mélange le Français a l'anglais, qui cherche a confronte les deux langues et les unir et finalement le travaille de Jody Pou une chanteuse, écrivante et paintre qui a écris le livre expérimentale « I thought j'itais en Bloom » ou elle mélange les langues dans ses poésies. L'éclatement de la langue, ou jouer simplement avec ce dernier était le sujets de divers artistques ,poétes ou/et écrivains. Un bon exemple serais les membre du groupe OuLiPo (L'Ouvroir de littérature potentielle ) qui est un groupe international de littéraires et mathématiciens qui se définissant avec la mataphore : « rats qui construisent eux-mêmes le labyrinthe dont ils se proposent de sortir. » soit un groupe de l'écriture expérimentale et assez joueur, pour moi la meilleure exemple serais « La Disparition » de Georges Perec qui un roman lipogrammatique de trois cents pages écrite sans utiliser la lettre e. Pour éclaté encore plus la langue il faut aller chez les Dadaïte avec les poème optophonétique de Raoul Hausemann qui s”éloignant complétement d'une language ''comprésensible”. Cependant le Dada est un mouvement provoquante qui remet en cause toutes les conventions et contraintes idéologiques, esthétiques et politiques. Une de mes phrases prèferer pour en parler est extraite du « Manifeste Dada 1918 » de Tristan Tzara, un des co-fondateur du mouvement Dada qui explique : « J'écris un manifeste et je ne veux rien, je dis pourtant certaines choses et je suis par principe contre les manifestes, comme je suis aussi contre les principes (...) J'écris ce manifeste pour montrer qu'on peut faire les actions opposées ensemble, dans une seule fraîche respiration; je suis contre l'action; pour la continuelle contradiction, pour l'affirmation aussi, je ne suis ni pour ni contre et je n'explique pas car je hais le bon sens. (..) DADA NE SIGNIFIE RIEN » ou son texte sur ”Comment faire un poème Dadaïste” « Pour faire un poème dadaïste /Prenez un journal./ Prenez des ciseaux. /Choisissez dans ce journal un article ayant la longueur que vous comptez donner à votre poème. /Découpez l’article. /Découpez ensuite avec soin chacun des mots qui forment cet article et mettez-les dans un sac. /Agitez doucement./ Sortez ensuite chaque coupure l’une après l’autre. /Copiez les consciencieusement dans l’ordre où elles ont quitté le sac. /Le poème vous ressemblera. /Et vous voilà un écrivain infiniment original et d’une sensibilité charmante, encore qu’incomprise du vulgaire. » Qui peut faire pensé au principe de cut/up bien que les cut/up de Burrougth on un tout autre fontionnement ,ce n'es pas pour provoqué comme les Dadaïste c'est un outil d'écriture expérimentale en soit-même qui produit des textes qui dépasse dans un certain sens l'imaginaire de l'esprit humain et produit des résultat bien étonnante, il a écris plusieurs livres avec cette thecnique comme Le Ticket qui explosa par exemple. Pour fermer la parenthése j'enchaine avec un autre de mes texte avec un éclatement plus importante : Bello.

 

 

Bello the peuple and bello min ven bello la lover og bello son chien bello min bello et bello sa Jubi. Si vi rule le monde en bellran su weapon nous bello the mort that bør ikke ske bello los larmes elo their råb if bello amala les hugs og le world nosotros pourrait nitan peaceful igen. Bello oui bello so enkelt a thing pero the humain er Kaldifu a égoïste man he har besoin to nitan puissant my ven c’est shifu indeed men que-ce-qu’we kan gøre ? Bello just bello min friend la ami serait so pretty og kusimi again Bello bello bello partout around (the) verden Bello your voisin og bello himbilos. on er sur un ø in a lille bout de terre så much van autour de us vi a peur d’être too grand. Du coup bello le battle det blodige slag everyone y go for their country’s fierté men tu should se past the pays where du live. Mark le fait at du est un menneske and ikke just un french or danois ou engelsk bello everyone bello eux who’s from les difference country bello the folk med a different øjne bello munjonu and bello les yellow bello big petit stor Just bello the fred !

 

 

Revenant sur l'idée d'écrire en plusieurs langue et commençant par mettre l’accent sur termes de base pour parler de ce sujet. D'abord multilinguistique désigne la coexistence de plusieurs langues dans un texte ou une société alors que Plurilinguisme c'est le art de savoir parler en plusieurs langue. Ensuite Diglossie signifie une prédominance d'une langue sur une autre. Dans l'histoire des écrit multi-linguistique on retient particulièrement le travaille de Robearivelo et Frankétienne. Jean-Joseph Rabearivelo qui vu comme le premier poéte Malgache, publiant des essais en Malgache et Français ,bien que le plus souvent ce soit dans une tentative d'auto traduction, essayant toute sa vie a quitté le Madagascar et venir en France, cependant chacun de ses demandes serra répondu par un refus, chose qui amena le poète jusqu'au suicide en 1937, ses ouvrages eux n'ayons que vu le jour en France en 1988. Une histoire similaire entourant les écrivains Haïtien qui produisant souvent des écris bilingues. Un bon exemple est L'écrivain Frankétienne : La République d'Haîti devenu indépendante en 1804 est connu pour être la première république indépendante dont la population est majoritairement noir, cependant c'est un pays déséquilibré qui au cours de plusieurs siécles on connu batails, coups d'état, guerre civil ect.... c'est un pays ou deux langue coexistant : le créole et le Français Haïtien et Frankétienne utilise cette source ,il est l'une des plus connu, et aussi l'un des courageux a être resté sur l'île ,ne pas avoir fuit malgré la dangereuse et instable situation de l'Haïti. Ainsi écrire en sa langue maternelle est parfois une sorte d'arme politique pour manifesté dans un pays déséquilibré.

 

Twisting paysages med en Kimsi kartoffel philosophy. Une fille chatoyant alouo the peuple Nabalala in  an instant  at l'amour so pretty Kimsi  elle is comme a halskæde of pluie. Nalbal, Nalbala la leisure  si hyggelig come kom mon ami til my château of Milsia un kingdom at dildizo around un table so dejlig. Kimsi the Anthropomorphie that fyldte up my live. Nabalala un øjeblik I nitan lovely sans stress og the snif to be avaler, kun un doudou kimsi for l'enfant shifuan erecon su mamie.

 

 

Pour moi il est tout simplement important d'aimer les langues pour ce qu'elles puissant dire que d'autres peuvent pas forcement. Les langues on un lieu direct avec la culture de leurs pays. Je vais donner quelques exemple de mots sans traduction, dont on ne peut que essayer d'expliqué les signification :

-Ya'Alburree (Arabe) Qui signifie. A toi de m'enterrer, qui veux enfaîte dire qu'on tient tellement a la personne qu'on ne peut pas imaginer sa vie sans ce dernier.
- Tartle (Scottish ) Le fait d'hésité en introduisant une personne car on a oublier leur nom.

-Mokita (Kivila) La vérité qu'on connais tous mais on accepté de ne jamais en parlais.

-Kyoikumama (Japon) une mère qui force son enfant envers une réussite académique.

 

Bien que toute les langues on leur particularité et peuvent mieux exprimé certaines idées que d'autres, le mélange de culture n'es pas une chose a repoussé, mais au contraire a encouragé. Je vais donner l'exemple du groupe théâtrale Isango Ensemble avec leur piéce « Magic flute » de Mozard ,un groupe d'origine sud africaine qui mélangent leurs pratiques culturelle a ceux de l'europe et Mozard créant ainsi un musical en anglais et Xhosa -langue africaine-. L'orchestré normalement constinué de violoncelle et clarinettes ce fait remplacer par des ranger de Marimbas où l'improvisation est la bienvenus Mondisi Dyantyis ,le directeur musicale amene même des sonorité de Jazz comme sonorité a la flûte magique, c'est une tout nouvelle manière de jouer Mozard que cette ensemble nous présente et Mozard aurais certainement était ravis du résultat ! Mais ce n'es pas la prémière fois que les pays dite ''exotique'' inspirant des artistes de l'europe. Revenant au 20éme siécle avec Picasso et ses « Dames d'avignons » inspirer par les masques africains, ou encore les photographies de Man Ray :  « Black and White » de 1926 avec son modèle Kiki de Montparnasse. D'autre comme Pollock et Yves Klein développent une fascination vers les indigènes d’Amérique et leur traditions ,l'un fasciner par leur rituelle coloré, le second par la tradition du Potlatch qu'il tente d'imité en Vendant de Zones de sensibilité picturale immatérielle à partir d'un chéquier, contre paiement en petits lingots d'or jetés ensuite dans la Seine. Alors que Marvin Gaye Chetwynd s'inspire tout simplement de toute la culture qui l'entourer, pop, fictionnelle ,artistique elle ne trace pas de limite.

 

Finalement je vais terminé en ouvrant sur un autre questionnement que je travaille qui est le Langage des images, ou comment faire danser les images comme préfère dire. Un travail sur la cinématographie et la poésie de l'image elle-même et comment on peut l'utiliser, la détourné et la faire danser. Langage des signes, langage du mouvement, il y a tellement de langage encore dont je n'es pas parler... Et le sujet peut continuer.


Journal de Bord de Cobra Mike

(Naffurients)

 

20 /03

 

Mon histoire commence par une lettre, un offre de travaille. Moi Cobra Mike, jeune diplomé de Paris 1 en archéologie venais de recevoir une invitation à participé à l'exploration d'une île prénommé ''Libilta'' , situer au milieu de l'océan pacifique, et sur lequel on aurais découvert des traces d'un ancien peuple disparu. Le plan était de rejoindre une équipe déjà sur place grâce a un hélicoptère dut à accessibilité difficile du lieu. On avais d'abord dut voyager jusqu'à Sydney pour rejoindre hélicoptère et commencer le voyage. Le grand jour étais arriver et je m'étais acheté un journal de bord exprès pour l'occasion. Ce livre dans laquelle j'aller prendre note de l'avancement du projet était très précieux pour moi.

 

On était une équipe de 5 : Moi, Marie-Ange,Chistophe, Fabien et Adeline l'organisatrice de l'expédition. Tout sympathique a l'exception d'une Marie-Ange. Mais donc les connaissances la pardonne de son caractère désagréable -Étant une diplômée exemplaire de sa section- . Chistophe quand a lui a plusieurs années d'expérience dans le domaine et avais déjà travailler plusieurs années avec Adeline. Fabien lui est le pilote, curieux de notre travaille même si il n'était pas professionnelle dans le milieu. C'est ainsi qu'à commencer ce voyage, par des présentations, des sourires et des rires puis au fur et à mesurer que la journée s’allongée : Beaucoup ,beaucoup de vagues.

 

22/03

 

Je m’avoue coupable, je m'étais promis d'écrire toutes les jours ,mais j'ai oublier d'écrire hier. Pour dire la vérité il n'y avais rien de très intéressant à raconté, je pourrais résumé ce journée la part trois mots : Attendre, vagues ,bavardage. On survole la mer à la recherche de cet île lointaine. Le pilote affirme qu'on y serra sûrement demain. Je dut me rassurer plusieurs fois qu'on étais toujours sur la bonne route car la large étendu de mer qui envahisse mon champs de vision, ne me rassurer pas. Et si on étais victime d'un accident ? Comment aller t-on faire ? Enfin cela faisais parti des risques du métier, puis les accident c’était tout de même rare, j'étais entourer de spécialistes je ne devais pas laisser des peut-être m’inquiéter. Tout aller bien ce passer je me le répété. Sans pour autant pouvoir expliquer ce lourd peut-être qui résonner dans mon esprit...Peut-être...Peut-être.. Peut-être...

 

 

 

23 /03

 

J'ai peur. L'équipage a peur. Peur, peur ,peur. Les risques du métier. On dit toujours qu'on est prèt, mais lorsqu'on est les malheureux 2% toucher, personne n'est prèt. Durant la nuit on a croisé une tempête. Contrairement au prévisions de la météo qui annoncer le beau temps.... On a eu la malchance d'être détourné de notre trajectoire et maintenant on avance a l'aveuglette. Le pilote est blesser ,frapper par une secousse, il n'a toujours pas repris connaissance ce qui nous laisse entre les mains de Marie-Ange. Cependant la demoiselle nous a mentis sur ses compétences professionnels, ses diplômes on étais trafiqué a l'aide de quelques beau billets verts. Moi qui l'avais toujours respecté pour ses savoirs, je ne sais plus quoi penser d'elle a présent. Pourtant je dois croire en elle, bien qu'elle n'a jamais piloté un hélicoptère aussi large, elle est la seule a posséder de l'expérience dans le domaine. J’espère seulement qu'on va pouvoirs retrouver notre chemin. On ce relais pour surveiller Fabien. Christophe viens de ce réveiller, je peut désormais essayer de dormir. Essayer du moins...

 

25 /03

 

Que-ce-que je peut faire d'autre que écrire ? L’hélicoptère c'est écraser. L'équipage est mort, je suis le seul survivant. Le plus absurde de tout ça c'est que je suis sur un île qui semble abandonné. De moins aucun humain ne dois vivre ici, autant j'en suis certain. C'est donc ici que je vais creuser mon tombeau ? Commencer et terminer ma carrière en a peine une petite semaine ? Même Marie-Ange j'aurais bien voulu l'avoir avec moi, quelqu'un, quelque chose, qu'importe.... La solitude est bien lourde, trop lourde. J'ai manger le reste de la nourriture que j'ai réussi à sauver. Il me reste à peine un litre d’eau. Le futur s'annonce mal, je vais devoirs rassembler mes connaissances pour survivre ou fixer la mer dans l'espoir de voir apparaître un bateau au loin. Ou alors j'abandonne de suite vu que de toute façon tout le monde est mort... Mais ma nature me hurle de survivre..Juste survivre....Mais survivre pourquoi faire ?

 

 

 

L'aventure ?! Oui l'aventure je la voulais ! Me voilà servis, ça m'apprendra à rêver du danger au lendemain de vouloir être un héros et découvrir des merveilles, que mon nom soit connu, oui la célébrité, la gloire éternelle. Pourquoi écrire alors ? Pour un publique qui n'existe pas ? Souvient toi de moi, toi là, oui oui je te vois, j'étais la avant toi, oui moi, celle qui a toucher ce livre avant toi, oui et qui sais combien de temps ce stylo tiendras, Qui sais si l'eau ne te détruiras pas ? Mais c'est la moindre des soucis, ma vie est sur la ligne ici, ou au contraire c'est la seule qui compte, car écrire nous rend vivant. Souvient toi de mes mots, qu'elle marque mon histoire, mais pour raconter quoi ? Que j'aimer le chocolat ? Ou que ma chienne Anja à renverser mon frère en chassant un lion imaginaire ? Tout et rien, sale envie humaine, je veux que tu connais mon histoire Cobra Mike, prononce le comme tu veux, l'ordre n'a pas d'importance ou au contraire c'est tout qui compte, qu'on rêve du désespoirs, être le héros de l'histoire, mais à quoi bon ? ça n'a plus de sens, maintenant que je suis là, là ou personne n'es avec moi... Je suis seul ! Oui seul...seul..seul..seul ! Seul ! Seul ! Seul ! SEUL ! SEULLLLLL !!! Dire que le point d'exclamation est censé exprimer un hurlement, mais comment hurler par des lettres ? Comment faire entendre sa voix ? Non.. non je peut pas, ici personne me comprendras car y a personne, personne ici, je l'es dit n'es pas ? Que je suis Seul. Oui Seul, sale solitude se lasse de moi.

 

28 /03

 

J'ai dut arracher quelques pages j'en devenais fou. Comment j'ai fait pour survivre ? Bonne question. La chance je dirais, la chance de tomber sur des fruits comestibles, bien que leur formes sont très bizarre elles m'ont pas tuer.... Du moins pas encore. J'ai trouver ni tomate, ni banane, ni noix de coco. Les fruits ici brillant de couleur pastel, c'est un drôle d'île, une drôle de végétation. Cependant ce n'es pas l'alimentation qui m'a le plus émerveiller, non c'est la découverte d'une route de pierres, oui j'ai bien dit une route. On dirais un travaille humain, ou pas humain, mais similaire, c'est une pierre bien spéciale : Elle brille dans le noir, d'une couleur doré comme si milles lucioles les illuminées. ça à était pour moi une révélation, le début d'un nouveau voyage. J'ai vu des signes de vie, des signes d'existence, d'intelligence. Peut-être que ce peuple vie encore sur cette île. Évidement suivre ce chemin peut conduire à ma mort, mais l'idée que je vais au contraire y découvrir des merveilles efface en moi tout doutes et peur. C'est avec ce espoir en tête que j'ose fermer l’œil ce soir dans l'espoir de découvrir demain le peuple qui dépasse mes espérances les plus fous.

 

29/03

 

J'avais bien raison lorsque j'ai dit que cette île était habité. J'ai crus par des humains mais je me suis tromper, ce ne sont pas des hommes comme nous ! C'est des surhommes car contrairement à nous ils semblant si lier à la nature et en même temps si développer. Ils on réussi, là où l'homme à échouer, soit en créant un Utopie sans le transformer en Dystopie. Tant que la modernisation des hommes a fait souffrir notre planète , celui des Naffurients N'on pas blesser leur sols. Les Naffurients, oui voilà le nom que je leur ait donner, bien que je ne parle pas la même langue que eux ,j'ai bien compris une chose sur ses créatures aux peaux jaunes, c'est que un mot reviens souvent lorsqu'ils parlent ''Naf'' ainsi ,les nommer Naffurients me sembler bien juste. ,Leur langage m'a inspirer, a partir d'aujourd'hui j'alller faire tout mon possible pour les comprendre, apprendre leur langues ,leur traditions, leur lois, mythes et toutes les petites merveilles qui créent leur monde. Ce livre ne serais plus un journal de bord. Mais un livre sur eux. Un livre sur le monde des Naffurients !